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Islamisation


ADHÉSION DE LA TURQUIE À L'UNION EUROPÉENNE


Mosquée

La Turquie n’a pas vocation à intégrer l’UE

Que ce soit religieusement ou culturellement, il faut mettre un terme à l'élargissement sans limite de l'Union Européenne.

NOUS EUROPÉENS, NE VOULONS PAS DE LA RÉPUBLIQUE ISLAMIQUE DE TURQUIE DANS L'UE.

Introduction

Les relations entre la Turquie et les Européens deviennent de plus en plus difficiles.

L'on pouvait légitimement espérer que :

  • Les menaces et déclarations martiales contre la France et la Grèce ;

  • Le chantage exercé par la Turquie concernant la crise des migrants ;

  • L'ouverture de ses frontières avec l'Europe pour laisser passer les réfugiés ;

  • L'implication de la Turquie dans le financement de Daech ;

  • L'occupation illégale du Nord de l'île de Chypre depuis son invasion par l'armée turque le 7 juillet 1974 ;

  • Le refus obstiné de reconnaitre le génocide arménien (les dirigeants Européens ont « détourné les yeux » sur un point qui aurait dû être non négociable) ;

  • La victoire du parti islamiste lors des élections législatives turques de novembre 2015 ;

  • Les dérives autoritaires d'Erdoğan (Purges et arrestations massives) ;

  • L'état d'urgence et la réforme de la constitution qui donne les pleins pouvoirs au Président Erdoğan ; 

  • L'éloignement de la Turquie de la démocratie accompagné d'une montée du conservatisme, d'un nationalisme ANTI-EUROPÉEN et de l'islamisation des institutions,

mettrait un point final au débat sur l'adhésion de la Turquie à l'Europe. Comment prétendre, qu'un pays à majorité islamiste a vocation à faire partie de l'Union européenne ? 


NOUS REVENDIQUONS LE DROIT DE PRÉFÉRER NOTRE RACE,
NOTRE PAYS ET NOTRE CULTURE


Démocratie Nationale

Se doit d'informer les citoyens des dangers
qui menacent notre société, notre ethnie et notre culture.

Synthèse

Adhésion de la Turquie à l'Union Européenne

La Turquie a déposé sa candidature d'adhésion à l'Union européenne (alors Communauté européenne) le 14 avril 1987.

État tiers associé à l'Union européenne et aux communautés qui l'ont précédée depuis 1963, la Turquie a signé un accord d'union douanière avec l'Union en 1995 et a officiellement été reconnue candidate le 12 décembre 1999 lors du Conseil européen d'Helsinki.

Après la reconnaissance officielle de la candidature turque en 1999 lors du Conseil d'Helsinki, les négociations commencèrent le 3 octobre 2005.

En novembre 2016, le Parlement européen demande le gel des négociations d'adhésion en raison des accords concernant la crise migratoire européenne et les mesures de répression jugées "disproportionnées" prises par Ankara suite à la tentative de coup d'État de juillet 2016 (purges et emprisonnements arbitraires). 

La dynamique s'est encore accélérée ces quatre dernières années avec

- la validation du référendum constitutionnel sur le changement de régime politique en mars 2017 (extension des pouvoirs de Recep Tayyip Erdogan),
- les insultes vis-à-vis des autorités allemandes, néerlandaises ou encore françaises,
- les interventions militaires en Syrie et l'instrumentalisation politique des flux migratoires...

Des représentants nationaux et européens se sont prononcé pour un arrêt de la procédure.

Côté turc, Recep Tayyip Erdoğan souhaite organiser d'autres référendums portant sur l'abandon de la procédure et sur la réintroduction de la peine de mort, ce qui constituerait "une rupture avec les valeurs européennes" défendues par l'UE et le Conseil de l'Europe dont la Turquie est également membre.


La Turquie n'a pas besoin de l'Union Européenne

Le 13 octobre 2017, lors d'une allocution devant les représentants de son parti (AKP) le Président turc Recep Tayyip Erdoğan a déclaré :

La Turquie n'a pas besoin de l'Union Européenne

Recep Tayyip Erdoğan

Pour rappel : Erdogan avait été le chef des jeunes du Milli Gorus, un mouvement islamiste turc ANTIOCCIDENTAL, nationaliste et théoriquement djihadiste...

Et bien sachez Monsieur Erdoğan, que nous Européens, ne voulons pas de la République islamique de Turquie dans l'Union Européenne.

Démocratie Nationale condamne la répression exercée par le gouvernement turc et la lâcheté et l'inaction des dirigeants européens.

Raisons de dire NON à la Turquie dans l'UE

Aspect religieux

Sur le plan de la culture religieuse, la religion majoritaire de la Turquie est l'islam.

  • 99 % de la population turque est musulmane et principalement d'obédience Sunnite dont les croyances divergent totalement de celles de notre civilisation européenne.. 
  • 1% de la population est composé de non-musulmans et le droit des minorités en Turquie est un concept extrêmement restrictif.

La Turquie est l'un des 57 États membres de l'Organisation de la coopération islamique (OCI), depuis 1969. 

Dans la continuité de la "radicalisation islamiste" du régime islamo-conservateur, Recep Tayyip Erdoğan poursuit sa déconstruction de la laïcité turque, dont les opposants dénoncent les tendances moralisatrices d’inspiration islamique et. l'émergence d'une "génération religieuse".

Rappelons cette phrase lourde de sens prononcée par Erdogan, actuel Président de la Turquie : "les minarets sont nos baïonnettes, les coupoles sont nos casques et les mosquées sont nos casernes".


l'adhésion de la Turquie accélérerait et favoriserait l'islamisation de l'Europe.

Aspect démographique

Si les tendances démographiques actuelles (2015) se poursuivent, la Turquie pourrait dépasser la population de l'Allemagne en 2021 avec 84 millions d'habitants et ce, malgré l’émigration de plusieurs millions de Turcs depuis 1945.

la population de la Turquie a quadruplé de 18,7 millions en 1945 à 72,9 millions en 2005 .

Dans la même période de temps, après avoir bénéficié du renouveau démographique d’après-guerre, de la poursuite de l’augmentation de l’espérance de vie et d’importants apports migratoires, la population de l’Union européenne (UE) à 25 passait de 338 millions d’habitants à 457 millions, soit +119 millions d’habitants, ou +35 % seulement.

Taux de natalité de l'UE et de la Turquie
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Si l’on applique aux chiffres actuels des naissances relevées dans l’Europe des 25 et la Turquie une durée de vie moyenne de 80 ans, déjà atteinte dans plusieurs pays d’Europe, l’on ne trouverait plus à terme qu’une population de 382 millions d’habitants pour l’Union européenne à 25, contre 120 millions d’habitants pour laTurquie [4][4] En 2050 selon la variante dite « haute » (c’est-à-dire.... Autrement dit, la Turquie [5][5] Cf. également Dumont, Gérard-François, « La Turquie,..., si elle devenait membre de l’Union européenne, représenterait selon les tendances actuelles un quart de la population de l’UE.

Compte tenu du déficit démographique chez les Européens et du taux de natalité dans les familles turques, nous assisterons à une mise en minorité des Européens de souche en quelques générations

La Turquie deviendrait ainsi le pays le plus peuplé de l'Union européenne et par conséquent pourrait avoir le plus grand nombre de "députés musulmans" au Parlement européen. Le pouvoir politique de la Turquie au sein de l’Union deviendrait le plus important ce qui est tout à fait innaceptable !

Droit des femmes

Le respect pour les femmes est encore trop limité : parmi les 20% de la population Turque développée, beaucoup de femmes vont jusqu'à l'université. Cela n'est absolument pas représenter dans le rôle qui leur est accordé dans la société. L'université a pour beaucoup un rôle matrimonial et sert à se trouver un mari avec une position sociale plus confortable ou un travail permettant d'accéder à une position sociale confortable. Elles sont complètement absentes de la vie civique, politique, sociale de leur pays. Pas parce qu'on les en empêche, mais parce que c'est traditionnellement considéré comme une affaire d'hommes ! Et qu'elles ne voient pas pourquoi elles devraient comprendre l'environnement dans lequel elles vivent : ca toujours été comme ça, il n'y a pas de raison que cela change voyons !

Dans son second rapport du 11 janvier 2007 sur le rôle des femmes dans la vie sociale, économique et politique de Turquie, le Parlement européen rappelle que

Le respect des droits de l'homme, et donc aussi de la femme, est une condition sine qua non de l'adhésion de la Turquie à l'UE Enfin, il met en évidence « le ralentissement du processus de réforme au cours de l'année dernière et la persistance des problèmes dans le domaine des droits de la femme ».

Ce rapport condamne en particulier les violences commises envers les femmes, et notamment les crimes d'honneur, les violences domestiques, les mariages forcés et la polygamie.

Le gouvernement turc est invité à « faire de la lutte contre les violences en général et contre les crimes d'honneur en particulier une priorité.
Second Rapport du Parlement Européen 11 janvier 2017
Un pays qui refuse de se prendre en main : L'engagement politique est extrêmement limité en Turquie. 80% de la population se contente de voter pour le parti qui a organisé le plus de fêtes de quartier, qui a mis la musique le plus fort et qui a donné le plus de subventions. Il n'y a absolument aucune conviction politique réelle. Que les subventions viennent de partis soutenus par des pays défendant le radicalisme, obscurantisme, l'instrumentalisation des religions ne leur fait ni chaud ni froid ! C'est même au-delà de leur portée et le cadet de leurs soucis. Ceci est complètement incompatible avec notre culture politique Européenne. Nous n'en sommes plus au populisme !

Ils sont prêts a manger a tous les râteliers : pourvu que vous ne soyez ni un officiel ni un journaliste, vous allez vite entendre le véritable discours des Turcs de Turquie. On veut se développer, et il nous faut des sous. Donc les aura soit pas les USA, par les pays Arabes, par l'Europe ou par la Russie. Il suffit de faire jouer les relations internationales : chaque jour, selon les interlocuteurs, on change notre discours ! La preuve étant que cela a déjà commencé avec les pressions subies par l'Europe pour la construction du Gazoduc qui traversera la Turquie : le gouvernement en place fait jouer les luttes d'influence entre l'Europe, la Russie, les pays Arabes voisins et les Etats Unis pour obtenir le plus de concessions possibles! C'est pourquoi nous ne devons avoir aucune confiance en leurs promesses : les politiques Européens ont demandé la reconnaissance du génocide arménien et des efforts sur les droits de l'homme. Je ne vois pas en quoi la position que peut adopter la Turquie sur sa propre histoire est en quelconque relation avec l'avenir des europeens et peut etre une quelconque garantie de leur bonne foi vis à vis de l'Europe. La fin justifie tous les moyens: l'argent de l'Europe est une manne trop alléchante pour être ignorée facilement. Tôt ou tard le gouvernement Turc finira par publier un joli communiqué de presse pour entériner leur acceptation génocide et leur integration dans l'union, on fera un beau feu d'artifices aux couleurs de l'Arménie et de la paix, et nous Européens resteront en face de nos nouveaux problèmes.

Une mentalité ignorante des droits de l'homme : si vous êtes blond, roux, noir, asiatique, juifs, bouddhiste ou indien, il vaut mieux venir ici sous escorte ou avec une idée précise de ce qui vous attend. Insultes dans la rue, jet de projectiles, railleries de bandes d'enfants sous les yeux de leurs parents, arnaques sur les prix lors de vos achats ou si vous prenez un taxi, refus de vous laisser monter / descendre des bus. Heureusement, je n'ai pas vécu toutes ces situations moi-même. Malheureusement, elles ont toutes été réellement vécues par des minorités visibles vivant à Istanbul, Antalya, Ankara et İzmir, et issues de témoignages. Et la police ne fait rien : absente au bataillon, lorsqu'elle daigne se déplacer, elle vous explique courtoisement que vous auriez du savoir qu'en Turquie les personnes comme vous il y en a peu et qu'il faudra vous y habituer au plus vite. Quand dans leurs villes les plus « modernes » ils ne respectent même pas le droit à la différence et à la libre circulation des gens, ils peuvent toujours courir pour qu'on les considère comme des gens civilisés. J'ai moi-même assisté à l'agression d'une jeune femme de couleur dans la rue, de manière complètement gratuite : elle ne faisait que passer, mais elle a eu droit aux insultes xénophobes et au jet de projectile ! Consternant ! Cette jeune femme étant française également, j'ai pu dialoguer avec elle et elle m'a dépeint un tableau navrant de la situation ici. La Turquie ne respecte en aucun cas les individus. Je me demande comment le Président Erdoğan aurait réagit si lors de sa visite à Paris des automobilistes avaient baissé la vitre de leur voiture pour insulter sa femme et sa fille en pleine rue parce qu'elles portent le voile ?

Le respect pour les femmes est encore trop limité : parmi les 20% de la population Turque développée, beaucoup de femmes vont jusqu'à l'université. Cela n'est absolument pas représenter dans le rôle qui leur est accordé dans la société. L'université a pour beaucoup un rôle matrimonial et sert à se trouver un mari avec une position sociale plus confortable ou un travail permettant d'accéder à une position sociale confortable. Elles sont complètement absentes de la vie civique, politique, sociale de leur pays. Pas parce qu'on les en empêche, mais parce que c'est traditionnellement considéré comme une affaire d'hommes ! Et qu'elles ne voient pas pourquoi elles devraient comprendre l'environnement dans lequel elles vivent : ca toujours été comme ça, il n'y a pas de raison que cela change voyons !

Ils nous mentent depuis le début : seul 20% de la population Turque est conforme aux images de modernité, tolérance, progrès et civilité que l'on nous rabâche sans cesse depuis les 5 - 10 dernières années. Ces 20%, mandatés par leurs gouvernements et les lobbys Turcs viennent chaque année en Europe dans leurs costumes griffés pour investir nos émissions télé, nos débats politiques et nos conférences universitaires afin de nous faire gober que 80% de leur population est a leur image, et qu'ils sont prêts à se joindre à nous. La Turquie doit d'abord s'attaquer à ses problèmes : même les laïques se comportent en oppresseurs avec les populations traditionnellement religieuses et Arabes qu'ils critiquent sans cesse, et les accusent de tirer leur pays vers le bas. Comment les laisser nous convaincre que tout va bien, et que nous n'allons pas nous même pâtir de ces relations instables ?

Cela nous coutera cher : 80% de la population Turque vis dans des conditions plus que discutables, voire catastrophiques. Immeubles insalubres, mauvaise scolarisation (un fort pourcentage de la population des moins de 35 ans ne sait pas écrire le turc correctement), délinquance juvénile galopante, taux de natalité douteux, pollution des eaux et de l'air inquiétante, travail précaire et informel. Bref que des casseroles qu'ils attendent que l'Europe ramasse à leur place.
Un pays en régression : La Turquie actuelle a atteint un niveau d'intolérance jusque là jamais égalé. Les convictions laïques et progressives d'Atatürk ne sont absolument plus respectées, la diversité culturelle et la tolérance mise en place à l'époque de l'empire Ottoman est piétinée. J'encourage vivement tous mes compatriotes et la presse à venir constater par eux même la situation ici : surtout, n'allez pas dans les bulles préfabriquées que sont les clubs de vacances et autres destinations réservées aux touristes. L'hypocrisie et la poudre aux yeux sont de mise. Infiltrez vous normalement, sans titre officiel ni appartenance à un groupe de presse visible : la vérité vous attend là dans toute sa splendeur !

Une mentalité butée et fermée : Les jeunes du pays ont la même mentalité que leurs parents à leur âge. Cela est alarmant. La culture Turque est très axée sur le nationalisme. Chaque jour, le sentiment de conservatisme et de « suprématie » de la culture Turque est entretenu par des campagnes de communication, de publicité, des programmes télé, des réformes de programmes scolaires et j'en passe. Le résultat est sans appel : la conception des rapports aux autres cultures se fait sur la seule base de leur référentiel. Ne nous voilons pas la face : la culture Turque n'a aucune vocation à l'intégration. Ne nous attendons pas à ce qu'une fois arrivés en Europe ils aient un quelconque attachement à nos valeurs, l'intention d'apprendre notre langue ou même l'idée de s'adapter de leur plein gré à nos règles de vie et nos lois.

Les Turcs tentent de nous Obliger à les laisser entrer chez Nous : il est dit que l'Europe a promis depuis « longtemps » à la Turquie son intégration. Ce n'est pas parce que vous avez invitez la famille qui occupe le bungalow voisin de votre maison de vacance à visiter votre résidence principale que cette famille peut se permettre de vous harceler par téléphone, e-mail et lettres papier afin que vous les receviez chez vous ! Et bien là, c'est pareil ! Quand on voit l'état de la Turquie à l'heure actuelle, on peut aisément penser que cette invitation était une regrettable erreur, et que tout simplement nous la retirons ! C'est notre plein droit ! Les Turcs s'assurent chez Groupama, font les courses chez Carrefour et roulent en Renault (et cela marchent aussi pour Aviva, BMW et Coca cola). Ces habitudes de consommation ont laissé beaucoup de Turcs penser à tort que cela suffisait à réclamer le droit d'entrée.

Les lobbys Européens tentent, à tort, de nous forcer la main : les intérêts économiques de l'Europe en Turquie sont énormes. Rien qu'à titre indicatif, sachez que les plus grandes enseignes françaises, britanniques et allemandes ont réussit à avoir de véritables empires ici (investissements, filiales, joint ventrues, franchises, participation dans les capitaux de groupes oligarchiques Turcs...). Mais il s'agit là de faire des affaires. Et l'argent n'a jamais obligé une nation toute entière (à plus forte raison 27 nations toutes entières) à accepter de tourner le dos a nos valeurs morales, culturelles ou politiques les plus précieuses ! Les Européens ont sans doute bien besoin des profits économiques générés en Turquie. Mais les turcs ont aussi besoins des millions d'emplois et d'euros apportés par les Européens par les placements, les enseignes, la manne touristique et l'argent rapatrié en toute légitimité par les membres de la diaspora Turque établie en Europe qui vit et travaille grâce à nos modèles sociaux économiques !

Conclusions

L'adhésion de la Turquie à l'Union Européenne accélérerait l'islamisation de l'Europe ce que nous refusons catégoriquement.


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