Programme Politique
1 - Institutions et Démocratie
DÉCOUVREZ NOS PROPOSITIONS POLITIQUES
Introduction
L’attachement de la Nation à la liberté d'expression et d'opinion, à la libre volonté du peuple belge de mener son destin indépendamment de toute allégeance, doit rester intact. Ne soyons pas dupes et exigeons de décider nous-mêmes de notre avenir en imposant le référendum d'initiative citoyenne.
Il apparaît toutefois aujourd’hui, que le fonctionnement DÉMOCRATIQUE de notre NATION est gravement entravé par :
- Le non-respect de "la résolution des droits de l'homme" ;
- Le procesus antidémocratique qu'est "Le cordon sanitaire" ;
- La politisation de la magistrature et de la haute administration ;
- la soumission de nos lois à des autorités européennes NON démocratiques ;
- des institutions aux pratiques institutionnelles souvent peu conformes à l’impératif démocratique ;
- les dérives dans l’exercice du pouvoir, qui renforcent le déficit démocratique, laissant disparaitre la défense de l’intérêt général au bénéfice de la défense d’intérêt particulier.
UN VÉRITABLE REDRESSEMENT DÉMOCRATIQUE DE LA BELGIQUE S’IMPOSE
Sommaire
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- Introduction
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1 - Garantir le respect des droits constitutionnels
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2 - Maintenir l'unité de la belgique
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3 - Conforter le pouvoir du parlement
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4 - Instaurer le référendum d'initiative populaire à tous les niveaux de pouvoir
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5 - Soumettre les intercommunales et les entreprises publiques au contrôle de la cour des comptes
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6 - Dépolitiser la haute administration et la justice
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7 - Encadrer et dépolitiser le pouvoir médiatique
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8 - Supprimer le vote électronique
Démocratie Nationale entend :
1 - Garantir le respect des droits constitutionnels
1.1 - Droits de l'homme
Démocratie Nationale adhère sans réserve aux valeurs et aux principes de la déclaration universelle des droits de l'homme.
DN s'engage à respecter et à défendre les quatre droits naturels fondamentaux que sont :
- la liberté ;
- la propriété ;
- la sûreté ;
- la résistance à l'oppression.
1.2 - Abrogation des lois liberticides
Les lois liberticides, euphémiquement qualifiées d'antiracistes ou de mémorielles, doivent être abrogées.
Les autorités locales qui, sous de fallacieux prétextes, interdisent une réunion politique pacifique doivent être sanctionnées.
1.3 - Liberté de la presse
Les médias qui se retranchent lâchement et honteusement derrière le cordon sanitaire seront poursuivis.
Le retour de la liberté de la presse et d’Internet s'impose.
1.4 - Dépolitisation des médias
Redéfinir les missions de la RTBF (Radio-télévision belge de la Communauté française). L’entreprise a ainsi pour mission d’offrir au public de la Communauté française un service de diffusion sonore et télévisuelle qui valorise :
- l’information;
- le développement culturel;
- la création audiovisuelle;
- l’éducation permanente;
- le divertissement
La RTBF veille également à ce que la qualité et la diversité de ses émissions permettent de rassembler les publics les plus larges possible et d’être un facteur de cohésion sociale, tout en répondant aux attentes des minorités socioculturelles.
Sa programmation doit refléter différents courants d’idées de la société sans discrimination culturelle, raciale, idéologique, sexuelle, philosophique et religieuse et sans ségrégation sociale.
Le cordon sanitaire qu'elle applique est en totale contradiction avec les missions de l'entreprise.
Nos droits constitutionnels et plus particulièrement la liberté d'expression et d'association doivent faire l'objet d'une protection particulière.
La légitimité politique réside dans la seule volonté populaire.
2 - Maintenir l'unité de la belgique
Démocratie Nationale propose à tous les Belges une paix communautaire.
Nous soulignons les liens culturels et historiques qui depuis des siècles, unissent nos populations de langues germanique et romane. L'unité de la Belgique lui assure, au niveau international, un poids politique et économique que nous entendons préserver et développer.
Bruxelles doit assumer son rôle de capitale internationale, ce qui assura le rayonnement et la renommée de la Belgique.
Libérons la région bruxelloise et la Wallonie de ses majorités arc-en-ciel xénophiles et de l'omnipotence de son état socialiste clientéliste, mais aussi de ses entraves syndicales dramatiquement archaïques. Libéré de ces lourds fardeaux, nous assurerons à ces deux régions fierté, justice sociale et prospérité, mettant ainsi un terme à la plupart des griefs relevés par la Flandre.
De cette façon nous romprons avec l'assistanat socialiste et nous nous montrerons dignes de nos pères, travailleurs infatigables et pionniers de la révolution industrielle.
L'image d'une Wallonie paresseuse et moribonde subsidiée par une Flandre laborieuse est fausse et inacceptable.
3 - Conforter le pouvoir du parlement
L'élection des représentants du peuple doit demeurer une élection au scrutin intégralement proportionnel. Le citoyen voit ainsi ses droits garantis et ses opinions représentées.
Le Parlement ne doit pas se contenter de prendre acte des décisions du gouvernement : son rôle est de contrôler le pouvoir exécutif et d'assurer ainsi une démocratie vivante.
La Chambre doit conserver toutes ses prérogatives, quant au Sénat ; son existence ne peut être maintenue qu'après profonde mutation. Un tiers des sièges de sénateurs doit être réservé aux représentants des différents corps sociaux qui constituent la nation. Ces derniers feraient l'objet d'une élection propre au sein des assemblées professionnelles, syndicales et industrielles, leur assurant une représentation paritaire et pluraliste. Ils seront le lien entre le pouvoir et les électeurs, considérés à la fois comme citoyens et comme acteurs de la vie socio-économique.
4 - Instaurer le référendum d'initiative populaire à tous les niveaux de pouvoir
En régime représentatif, le peuple élit des représentants qui le gouvernent. L'électorat rend légitime un pouvoir dont les représentants sont les seuls détenteurs : il y a là délégation totale de souveraineté. La notion-clé, en régime démocratique, est la participation du peuple à son destin.
La démocratie implique aussi la possibilité de manifester ou de refuser le consentement du citoyen aux professionnels de la politique.
Ce ne sont pas les institutions qui rendent la démocratie réelle, mais bien la participation du peuple à ces institutions. Le maximum de démocratie se confond avec le maximum de participation. Trop de Belges s'estiment exclus des grandes décisions qui déterminent leurs vies.
Si les partis politiques contribuent à la volonté politique des citoyens, le référendum y contribue également, sinon davantage. Le référendum d'initiative populaire rend la parole au peuple, unité de destin face à l'universel.
En recueillant les signatures d'un nombre déterminé d'électeurs, le citoyen pourra provoquer l'organisation d'une consultation populaire, dont le résultat aura force de loi. Ainsi la majorité silencieuse, bâillonnée par le complexe médiatico-gauchisant, pourra enfin faire entendre sa voix, sans aucun doute bien différente de celle, supermediatisée, de minorités agissantes dont la représentativité est plus que douteuse.
La notion-clé, en régime démocratique, est la participation du peuple à son destin
5 - Soumettre les intercommunales et les entreprises publiques au contrôle de la cour des comptes
6 - Dépolitiser la haute administration et la justice
Les nominations de hauts fonctionnaires doivent s'effectuer selon le seul critère de la compétence. Il est important de séparer la politique de l'administration afin d'éviter toute dérive technocratique. Il faut limiter les cumuls de mandats publics et économiques.
7 - Encadrer et dépolitiser le pouvoir médiatique
SE PRÉMUNIR CONTRE LES MALADIES MÉDIATIQUEMENT TRANSMISSIBLES
Dans toute démocratie moderne, les médias constituent, de fait, un quatrième pouvoir. Malheureusement, son indépendance vis-à-vis de l'exécutif, du législatif, du judiciaire ou de différents groupes de pression dits "engagés" est loin d'être garantie.
Les médias acceptent l'aide directe ou indirecte des pouvoirs publics. Ils profitent de leur situation pour influencer le vote des électeurs, n'hésitant pas à manipuler l'opinion publique et à diaboliser les formations politiques hostiles au système. Leur esprit mercenaire les transforme en vecteurs de désinformation.
Il est inadmissible que le pouvoir médiatique n'ait pas à répondre de ses actes.
Démocratie Nationale veut garantir l'indépendance et une réelle objectivité des journalistes, ainsi que le pluralisme et le traitement équilibré de l'information. Les subsides directs dont bénéficient les journaux doivent être supprimés.
Il convient de créer un Ordre des journalistes professionnels et de renforcer les droits de protection de l'image pour tous les citoyens ; qu'ils soient puissants ou misérables.
Bien que garanti par la loi, l'exercice effectif du droit de réponse reste aléatoire pour le militant d'opposition nationale. Il doit être facilité par de nouvelles dispositions civiles et pénales.
il est inadmissible qu'une personne s'estimant calomniée par un organe de presse n'ait, en pratique, quasiment aucun moyen de recours !
Démocratie Nationale préconise :
- l'obligation, pour les chaînes du service public, d'accorder un temps de parole équitable à chaque parti se présentant aux élections ;
- L'application de ce principe d'équité en matière de conflit social (surmédiatisation des positions syndicales) et autres grands débats de société (écologie, OGM, nucléaire, énergie, réchauffement climatique, immigration, islam, indignation a géometrie variable, féminisme etc.) ;
- la possibilité de s'exprimer librement dans les médias pour les formations politiques représentées dans les assemblées ;
- de mettre fin aux agissements antidémocratiques d'un quarteron de satrapes socialistes et d'une soi-disant élite médiatico-culturelle qui font de la RTBF ou encore d'ARTE les plus sectaires des télévisions !
Le principe de responsabilité du journaliste doit être réaffirmé
8 - Supprimer le vote électronique
Lors d'une élection, la démocratie est assurée par 3 piliers fondamentaux :
- le suffrage universel (tous les citoyens du pays en âge de le faire ont droit de vote)
- la garantie du secret du vote (on ne peut donc influencer ou exercer des pressions)
- l’exactitude des résultats (chaque vote déposé dans l’urne sera comptabilisé et influencera directement le résultat de l’élection).
Une nouveauté s’impose lorsque les avantages qu’elle offre sont supérieurs aux désavantages créés par ce changement.
Avantages :
Le vote électronique apporte notamment un dépouillement quasi-immédiat des résultats qui sont donc communiqués bien plus rapidement.
désavantages :
Les inconvénients du vote électroniques sont de deux ordres : démocratiques et pratiques.
a - Désavantages démocratiques :
des 3 piliers démocratiques sus-cités, 2 sont complètement rendus inopérants par le vote électronique.
- Il n’est plus possible de garantir le secret du vote.
- L'abscence de contrôle démocratique du processus électoral.
- Le résultat du vote électronique n’est pas du tout garanti car ce dernier n'offre pas toutes les garanties requises contre la fraude ! En effet, aucun logiciel n’est sûr à 100%, même après des années de vérifications. Une machine de vote testée parfaitement la veille du scrutin peut très bien comporter un programme qui modifiera son comportement le jour du vote et seulement ce jour là.
- L’égalité des listes au regard de leur ordre d’apparition à l’écran. L’article 15 de la loi du 11 avril 1994 impose l’affichage sur papier de l’ensemble des listes de candidats dans chaque bureau de vote et dans chaque isoloir ce qu'un écran ne peut faire à cause des contraintes techniques liées à sa taille.
b - Désavantages pratiques :
- Le matériel informatique coûte beaucoup plus cher qu'une feuille de papier.
- Prix de l'entretien et du stockage. En effet ce matériel doit être gardé de manière très sécurisée.
- Fiabilités et problèmes techniques (écran qui se fige, vote qui semble ne pas s'enregistrer mais qui l'est au contraire plusieurs fois...).