Le défi historique qu’il nous faut affronter partout en Europe est celui du totalitarisme remplaciste, avec l’invasion qu’il implique, l’occupation étrangère, le brutal changement de peuple, la substitution ethnique et culturelle, sorte de GPA généralisée et pire des manipulations génétiques, le crime contre l’humanité du XXIe siècle. Ce dont nous avons besoin aujourd’hui pour faire face à ce phénomène monstrueux, où l’homme figure comme matière humaine indifférenciée, remplaçable et substituable à merci, ce n’est pas un nouveau parti, pas même une union des droites : le refus du totalitarisme remplaciste n’est pas moins de gauche que de droite, et nous voulons croire que le sentiment patriotique est indépendant des appartenances politiques.
Ce dont nous avons besoin, c’est le rassemblement de tous ceux qui opposent un grand NON au Grand Remplacement, à l’islamisation et à la conquête africaine, au traitement de l’homme et des peuples comme s’ils étaient des produits plus ou moins manufacturés, indéfiniment échangeables. Toutes les résistances fédérées, qu’elles soient celles des partis, des mouvements, des associations, des hommes ou des femmes, peuvent et doivent garder leur caractère propre et leurs objectifs particuliers, mais s’entendre — sous peine de mort pour les nations et pour les peuples européens — autour de cet objectif minimal, la libération du territoire, la décolonisation de la France et de l’Europe, le départ de l’occupant : étant entendu que l’occupant est celui qui se considère comme tel, ou qui agit comme tel. La remigration est notre but commun. Tous ceux, d’où qu’ils viennent, qui partagent cette volonté doivent se rassembler en un cadre précis, celui d’un Conseil National de la Résistance, de la résistance européenne, car toutes les nations européennes sont invitées à mener pareillement le combat pour le salut de notre civilisation commune.