L’affreuse vérité, c’est qu’à part les Pays-Bas, l’Europe du Nord et l’Allemagne, toute l’Europe dont la France est en faillite.
Les acteurs financiers font fi des tensions géopolitiques et concentrent leur attention sur les bonnes nouvelles du verre à moitié plein.
Erdoğan pressent le rôle à jouer de l’or qui, inéluctablement, remplacera un jour le dollar en tant que seule valeur crédible reconnue.
Le krach viendra et les créations monétaires par les banques centrales pour sauver les meubles entraîneront une hyperinflation à l’échelle...
Si les taux augmentent ou s’il y a le moindre krach, l’État français, et pas seulement l’Italie, sera en faillite pure et simple.
Les créances douteuses du système bancaire sont très élevées, de l’ordre de 13 %.
Le Dow Jones a reculé de 2,58 % le vendredi 2 février et la Bourse de Paris est déjà dans le rouge pour l’année 2018.
Tout va très bien ! Il n’y a pas de crise en vue ou de souci à se faire !
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