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S'EXPRIMER LIBREMENT N'EST PAS UNE LIBERTÉ, MAIS UN DROIT

Tribune libre

Ces minorites ethniques qui envahissent le paysage mediatique

Les gourous droits-de-l’hommiste, les khmers verts écolos, leurs alliés du mondialisme effréné et les adeptes du « multiculturel » et du « pluriethnique » à tous les étages considèrent qu’ils détiennent la Vérité Révélée et ne tolèrent aucune contestation à cette Nouvelle Religion.

Pour étouffer toute velléité du refus de leurs visions sectaires et interdire toute autre opinion, cette mafia a, depuis des décennies, fait adopter des lois, des directives et des arrêtés qui limitent ou interdisent l’exercice des libertés fondamentales (expression, conviction, réunion et presse), à leurs opposants nationalistes. Tout est prétexte à la CULPABILISATION de l’homme blanc.

Partout en Europe existe une police de la pensée.

Tous les moyens sont bons pour bâillonner la voix du peuple, ceux « d’en-bas », et discréditer ceux qui tiennent un discours « politiquement incorrect ». Haro sur ceux qui publient des articles transgressant les « tabous » instaurés par ces doctrinaires de la démocratie totalitaire afin de leur permettre de saboter, sans aucune entrave, les valeurs de notre société, les fondements de la civilisation européenne et les acquis de notre culture gréco-romaine. Un témoignage explicite concernant le « tabou » de l’immigration avait été donné par la parution d’un article du 15/03/2005 dans le journal flamand Het Laatste Nieuws, écrit par la journaliste Hind Fraihi qui racontait la réalité quotidienne dans la commune bruxelloise de Molenbeek. Le bourgmestre (maire) Philippe MOUREAUX intervenait dans les contrôles de la police fédérale et interdisait à ses patrouilles d’opérer dans les quartiers à forte densité musulmane. Selon Hind Fraihi, les politiciens belges surestimaient la réelle volonté d’intégration ou d’assimilation des immigrés à la société belge. Pour elle, l’islamisation des communes bruxelloises était comparable à une tâche d’huile qui s’étalait lentement, mais sûrement. Et cette complaisance des politiciens du gouvernement, existait aussi en France, en Allemagne, en Italie ou en Espagne. Molenbeek a été une pouponnière de terroristes islamistes qui se sont répandus au fil des ans ailleurs en Europe. C’est ainsi que dix ans plus tard on assistait à Paris aux massacres de Charlie Hebdo, puis à ceux du Bataclan et des terrasses et en mars 2016 aux attentats de Bruxelles.

Où en est-on en 2021, seize ans après le constat de Hind Fraihi ?

Fait-il « bon vivre à Bruxelles, ou à Paris » ? 80% de la population bruxelloise est d’origine étrangère. 25% des personnes en âge de travailler sont au chômage. 100.000 analphabètes hantent toujours les statistiques de la capitale belge, depuis 40 ans ! Depuis 2005, l’insécurité n’a cessé d’augmenter et les ventes de drogues ont explosé en Europe. Partout, les tribunaux sont débordés. La police est excédée. Les commerçants sont vandalisés. Dans les écoles, on parle un sabir anglo-arabo-moldave et à la cantine c’est « halal » pour tous !

Lorsque, à de (très) rares occasions, on interroge les auditeurs, téléspectateurs ou internautes, il est amusant de constater que 80% des sondés ne veulent plus d’immigration et que 70%, par ailleurs, refusent l’islamisation de nos villes. Car eux, vivent la réalité au quotidien. Mais ce qui est inacceptable c’est la complicité des médias, du show-biz, de la gauche caviar et des pourriticards avec les agresseurs des plus faibles de notre société, au prétexte que ces crapules sont maghrébines, africaines ou arabes. Ce sont quand même ces mêmes racailles qui encombrent les tribunaux, tout en accusant la police de prétendues « violences ». En cette période de couvre-feux successifs, le tapage nocturne, les rodéos sauvages, l’absence de port du masque ou les réunions de plus de 6 personnes ne sont pas verbalisés pour les contrevenants dans les quartiers « difficiles », sur instructions de la hiérarchie policière, alors qu’ailleurs, avec votre faciès de Gaulois, ce sera 65 ou 135 euros. Deux poids, deux mesures ?

Et quand ce n’est plus supportable, on ne supporte plus !

Pieter KERSTENS

  • Créé le .