Immigration : la Biélorussie a bien raison !
La République Socialiste et Soviétique de Biélorussie a été proclamée indépendante en 1919, puis adhérente à l’URSS en 1922. C’est en Août 1991 que le Soviet Suprême proclame à nouveau l’indépendance du pays qui rejoint la CEI.
Depuis 1994, Aleksandr Loukachenko est élu président de la République à six reprises, en exerçant un pouvoir autoritaire, soutenu par la Russie.
Membre de l’ONU depuis le 24 octobre 1945, la Biélorussie adopte le nom de Bélarus en septembre 1991. C’est un état souverain reconnu par la communauté internationale au même titre que la Suisse, le Vanuatu, la Chine, la Turquie, la France, la Belgique ou le Myanmar entre autres.
Seuls les naïfs ou les inquisiteurs de la nouvelle religion « Droits de l’hommiste » s’étonnent maintenant du chantage à l’immigration exercé par la Biélorussie alors même que l’ensemble de l’Union Européenne avait cédé à celui imaginé par Recept Erdogan en juillet 2015. Notre devoir de mémoire nous rappelle que depuis octobre 2020, l’U.E a imposé des mesures restrictives à l’encontre de la Biélorussie, pour contester les résultats de l’élection présidentielle du mois d’août 2020 qui, selon les eurocrates, ne répondraient pas aux critères et aux canons de la beauté de la « Démocratie ».
Par communiqué de presse du 24 juin 2021, le Conseil de l’Union Européenne avait instauré un 4e train de nouvelles sanctions économiques et financières à l’encontre du régime biélorusse. Et si des milliers de clandestins se trouvent aujourd’hui bloqués par les barbelés à la frontière de la Pologne, il faudrait savoir QUI les a poussés à embarquer dans des charters au départ du Qatar et de la Turquie ? Ceux-là doivent rapidement être rapatriés dans leur pays d’origine. L’Europe n’a pas vocation « à accueillir toute la misère du monde » ni les centaines de millions de personnes vivant avec moins de 2 Euros par jour partout sur notre planète.
La démocrature est un régime dévoyé du suffrage universel.
Depuis 1972, plusieurs pays ont voté par référendums contre les textes sur l’Europe. La Norvège en 1972 et 1994 ; le Danemark en 1992, 2000 et 2015 ; l’Irlande en 2001 et 2008 ; les Pays-Bas en 2005 et 2016 ; la Suède en 2003 ; la France en 2005 ; le Royaume-Uni en 2016 (Brexit), sans oublier le Groenland en 1982 (retrait de l’U.E).
Le Conseil Européen des chefs d’Etat et de Gouvernement a toujours fait en sorte que les directives de la Commission Européenne soient imposées aux récalcitrants, en faisant revoter les peuples rebelles, afin de poursuivre son œuvre de destruction des souverainetés nationales, de suppressions des identités respectives et des traditions ou coutumes nationales. Selon un rapport de Joseph Chamie, directeur de la division population à l’ONU, publié le 20 mars 2000 « le nombre annuel moyen net des immigrés nécessaires au maintien, entre 2000 et 2050, du niveau de la population active (18-64 ans) devrait être en Europe, à partir de l’an 2000, de 2.100.000 individus. » Soit plus de 100 millions d’immigrés en 50 ans !
OUI, on peut donc bien constater, à la lecture de ce document, que les mondialistes ont imaginé, planifié et imposé un « Grand Remplacement » des peuples blancs européens, en refusant toutes nouvelles mesures en faveur de la natalité ou du développement des familles.
Cela pourrait aussi expliquer l’intense propagande et l’expansion des lobbies LGBTQI+.
Pieter KERSTENS
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