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S'EXPRIMER LIBREMENT N'EST PAS UNE LIBERTÉ, MAIS UN DROIT

Tribune libre

Le grand Robert entre dans la grande histoire

Robert Faurisson,  invité à Shepperton, la bourgade exquise où il était né, au bord de la Tamise, a une nouvelle fois rendu fous les menteurs professionnels qui veulent absolument nous enfermer dans leur délire tyrannique.

Recevant des pressions, l’hôtel où se tenait la réunion privée organisée en son honneur  déclencha une sirène d’alarme qui retentit pendant une bonne heure et demie. Robert Faurisson était effectivement un incendiaire, et nous avons bien l’intention de propager le feu de la vérité qu’il a semé obstinément, pendant 40 ans de combat acharné. Voir et entendrehttp://plumenclume.org/blog/%20https://meta.tv/hommage-robert-faurisson-aura-combattu-jusquau-bout-contre-la-falsification-de-lhistoire/" target="_blank" style="box-sizing: border-box; text-decoration: none; background-color: transparent; transition: all 0.2s ease-in-out; color: rgb(9, 99, 217);"> ici ce qui s’est passé le 21 octobre 2018 à Shepperton (cette vidéo a déjà été censurée sur youtube, mais d’autres ont su contourner le problème). Et on dispose aussi de la version anglaise correspondante.

Il  aurait eu 90 ans l’année prochaine. Comme par un pressentiment, ses amis anglais n’avaient pas voulu attendre pour lui organiser un hommage, dans sa ville natale. Il y fit honneur et insista, dans son allocution, sur un aspect de son travail d’historien, le côté policier enquêtant sur la scène du crime, et relevant, aussi minimes  fussent-ils, les moindres indices matériels. Oui, il a si bien débusqué les mensonges et les tours de prestidigitation pour les occulter, qu’il nous a fait découvrir un crime colossal, à plusieurs étages: celui qui est résumé dans sa célèbre « http://plumenclume.org/blog/robertfaurisson.blogspot.com/2011/06/la-phrase-de-soixante-mots.html" target="_blank" style="box-sizing: border-box; text-decoration: none; background-color: transparent; transition: all 0.2s ease-in-out; color: rgb(9, 99, 217);">phrase de 60 mots« , prononcée devant le micro d’Ivan Levaï, la dernière occasion publique qu’il eut de s’exprimer librement, en 1980.

C’est toute la vie politique de l’Occident, qui a été pourrie par le cauchemar organisé autour de l’image mentale des chambres à gaz, sortes d’abattoirs humains qui auraient été réservés aux juifs, et auraient été inventés puis mis en service systématiquement par le national socialiste allemand. Un trou noir pour l’intelligence, où on a englouti par la manipulation mentale six millions d’innocents, un chiffre récurrent aussi symbolique qu’hyperbolique, dans la mythologie juive; par ce tour de magie barbare, on a traumatisé  tous les rescapés de la seconde guerre mondiale d’ascendance juive, et leurs descendants, mais aussi tous les Européens, désormais divisés entre complices de génocide et survivants d’une espèce supérieure « exterminée » et auréolée de sainteté. C’est toute la tradition de rigueur critique de la recherche à l’université que l’on a condamnée, au nom de l’Holocauste, une croyance imposée par le viol des consciences, la menace, le chantage et la répression effective, en Occident.

« Faurisson » est un nom de famille qui veut dire orfèvre. Sa tournure d’esprit était effectivement celle d’un orfèvre, infiniment minutieux et exigeant, tout en se voulant artisanal, modeste. Trop modeste pour se vanter d’avoir trouvé la vérité, il disait ne s’attacher qu’à l’exactitude. Mais il est allé si loin dans la précision, qu’il a fait surgir une immense clarté, à partir de la miniaturisation du réel qu’il a ciselée au fil des ans. Styliste parfait, il a concentré comme dans un miroir aveuglant l’essence de la peste qui condamne l’ordre occidental imposé à partir de Nuremberg. Il a fait émerger l’or de la réalité profonde, sous les coulées de boue qu’on veut nous faire ingurgiter. Après Faurisson, en histoire, le crime parfait n’est plus possible, la falsification, aussi étendue et admise soit-elle, est désormais bancale, on ne peut plus dire n’importe quoi, sous prétexte de bons sentiments qui rapportent. Notre dette envers lui reste entière. L’associaiton Entre la Plume et l’Enclume, pour la défense de la liberté d’expression, continue à faire fructifier son héritage, avec admiration et respect.

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